Erosion par l'eau 

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(Cliquez sur la photo pour l'agrandir)

Vallée glaciaire proche du Cirque de Gavarnie

On voit nettement le lit d'un torrent asséché avec les pierres qui ont été charriées. En ligne d'horizon, les formes caractéristiques en aiguille des sommets de montagnes jeunes. A gauche, à flanc de montagne, le chemin de randonnée.

Le Cirque de Gavarnie (vue d'ensemble). 

Les sommets sont encore enneigés bien que nous soyons au mois de juillet. Ce cirque a été creusé il y a 20.000 ans par un immense glacier qui descendait jusqu'à Lourdes.

Le Cirque de Gavarnie (vue rapprochée). 

A noter la chute vertigineuse de 422 mètres de la Grande Cascade
A voir aussi la toute petite cascade sur la gauche. Les plaques blanches sont des restes de neige de l'hiver précédent (photo prise au mois de juillet)

Cirque de Gavarnie. 

La rivière qui fait suite à la cascade vue sur la photo précédente. 

A noter les blocs de roche charriés par les eaux.

Travail de sape par les vagues au pied de la falaise d'Etretat. 

Les galets de silex très durs facilitent cette action d'érosion sur la craie tendre. 

Pan de falaise effondré à la suite de fortes pluies au niveau du Cap Blanc Nez. 

La zone à risque a été interdite au public par des pieux plantés sur la plage.

Sur la falaise surplombant la commune de La Roque-Gageac en Dordogne, on remarque nettement une zone plus claire à son sommet. 

C'est un pan de roches qui s'est effondré (il y a 3 à 4 ans) causant de gros dommages aux maisons en contrebas.

 

Marmite de géant au niveau d'une rivière de montagne (Vercors) liée à l'action mécanique et abrasive des rochers emportés par les eaux de la rivière en crue sur les roches encaissantes.

Lit creusé par la rivière dans les terrains encaissants constitués de calcaire (gorges dans le Vercors)

Cavité en formation dans du calcaire urgonien (Vercors). 

Noter l'aspect fissuré de la roche. 

Cette cavité, dans quelques milliers d'années sera à l'origine d'une grotte, voire d'un gouffre en cas d'effondrement du plancher. 

Fissure dans un pan de muraille calcaire de quelques millimètres de large. 

L'eau qui y pénètre, va dissoudre le calcaire et donc augmenter la dimension de cette fracture. 

Voilà ce que donnerait dans quelques milliers d'années la fissure précédente agrandie par l'action de dissolution des eaux d'infiltration. 

Cette fracture atteint une largeur de 15 à 30 centimètres. 

Micro source suintant à l'extrémité d'une diaclase dans le calcaire. 

Le dépôt brunâtre est causé par les particules d'argiles mélangées au calcaire et non attaquées par l'eau.

Suite logique de la photographie précédente : l'argile qui s'est déposée, sert de sol, qui est peu à peu colonisé par des plantes pionnières. 

Sur le bord d'une petite route de la commune de Méaudre , un trou est visible . C'est l'ouverture d'un gouffre : le Trou qui souffle (60 à 70 cm de diamètre). Un courant d'air ascendant est très nettement ressenti.

Eté comme hiver , la température de l'air qui sort est la même (environ 10 °C). Son réseau s'enfonce dans le calcaire de 970 mètres. 

Vue par dessus du Trou qui souffle

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