(Cliquez sur la photo pour l'agrandir)
|
|
Base de la Falaise d'Etretat . On remarque bien l'attaque conjuguée des vagues et des galets de silex (très durs) . La stratification liée aux lits de silex est bien marquée. |
|
|
Sommet de la Falaise d'Etretat . On remarque bien l'aspect fissuré de la craie au premier plan et sa stratification en arrière plan . |
|
|
La Porte d'Etretat Remarquer la stratification liée aux silex ainsi que les blocs de craie qui se sont effondrés de la falaise. |
|
|
L'Aiguille d'Etretat C'est un vestige de ce qu'était la falaise il y a quelques millions d'années, avant son recul lié à l'action érosive menée par les vagues (au bas) et par les aux météorites (en haut) |
|
|
Porte et Aiguille d'Etretat La stratification de la craie est ici bien visible |
|
|
Poche d'argile de décalcification au sommet de la Falaise d'Etretat On y voit nettement des rognons de silex qui y sont incorporés (la silice étant quasiment insoluble dans l'eau) |
|
|
Porte et Aiguille d'Etretat A remarquer dans le bas de la falaise la saignée provoquée par l'action érosive simultanée des vagues et des blocs de silex projetés les jours de grandes tempêtes. |
|
|
Aiguille et Porte d'Etretat à marée basse. A gauche , la Grotte de l'Homme, cavité creusée dans la falaise par l'érosion marine. |
|
|
Seconde Porte d'Etretat beaucoup moins connue que la précédente. A noter au premier plan, la stratification bien marquée dans la craie par les lits de silex en rognons. |
|
|
Porte et Aiguille d'Etretat vues à marée basse. La traînée sombre, dans le bas de la falaise, indique le niveau qu'atteint la mer à marée haute. |
|
|
Gros plan sur la Porte d'Etretat.
La stratification est ici bien visible. Ici encore, le niveau de l'eau, à marée haute, est bien marqué par la trace sombre laissée au pied de la falaise. |
|
|
Porte et Aiguille d'Etretat à marée basse (vue d'ensemble) |
|
|
Porte d'Etretat et Grotte de l'Homme à marée basse. La taille des personnes, au sommet de la falaise, donne une idée sur la hauteur de celle-ci. |
|
|
Petite porte d'Etretat à marée basse. Plage de galets (silex de la falaise remaniés par les vagues). Gros bloc de craie tombée de la falaise (en bas et à droite) |
|
|
Petite porte d'Etretat à marée basse. Photo prise de la plage. |
|
|
Petite porte d'Etretat prise (à marée basse) du sommet de la falaise. La stratification de la craie et le niveau de la mer à marée haute sont ici bien visibles. |
|
|
Plan rapproché sur la Porte d'Etretat et la Grotte de l'Homme (à marée basse) |
|
|
Sommet de la falaise pris au téléobjectif. Stratification bien visible. On peut aussi noter la très faible épaisseur du sol ainsi que la pelouse rase qui recouvre cette falaise exposée à tous vents. |
|
|
Porte d'Etretat. Photo prise du chemin pédestre qui mène au sommet de la falaise. Stratification bien visible. |
|
|
Stratification bien visible au niveau de la craie (1) |
|
|
Stratification bien visible au niveau de la craie (2) |
 |
Gros plan sur le pied de la falaise. Rognons de silex bien visibles et alignés. Galets de silex arrondis au niveau de la plage |
 |
Alignement de silex dans la craie située près du sommet de la falaise. A noter que la craie est nettement plus fissurée en haut qu'en bas (action chimique des eaux météorites) |
 |
Gros plan sur 'un rognon de silex englobé dans la masse de la craie |
 |
Enorme bloc de craie tombée de la falaise (ou mini-aiguille, vestige de l'érosion marine ?). On peut remarquer que l'alignement des rognons de silex est respecté au niveau du bloc. |
 |
Strate bien nette de silex au pied de la falaise. Plage de galets (silex arrondis car roulés par les vagues) |
 |
Rognons de silex dans le gros bloc de craie décrit plus haut. |
 |
Rognons de silex dans le gros bloc de craie décrit plus haut. Strate de silex bien visible au niveau de la falaise en arrière-plan. |
 |
Action chimique des eaux météorites chargées de CO2 sur les failles et diaclases (carbonate de calcium solide => hydrogénocarbonate de calcium soluble). Un gros pan de falaise est près à se décocher suite à l'élargissement d'une grosse faille (nettement visible). |
 |
Une autre faille vue cette fois-ci du haut de la falaise. On voit que la roche n'est presque plus solidaire de la falaise. La couleur brune en arrière plan est liée à la présence d'argile de décalcification (argile à silex). |
 |
La craie telle qu'elle apparaît au sommet de la falaise, rongée par les eaux météorites (très diaclasée). Le sol est constitué d'une fine couche d'argile à silex (décalcification de la craie libérant ainsi les rognons de silex). L'argile est formée des silicates d'alumine hydratés contenus dans la masse crayeuse (vases d'origine continentale) |
 |
Couche d'argile de décalcification (argile à silex) recouvrant la craie au sommet de la falaise. Blocs de craie non encore dissous et rognons de silex donnent ces taches claires visibles dans l'argile. |
 |
Argile à silex partiellement recouverte de pelouses rases, typiques des falaises littorales soumises à tous les temps. |
 |
Erosion mécanique au pied de la falaise. Ici, la Grotte de l'Homme, cavité creusée par l'action simultanée des vagues et des blocs de silex projetés contre la falaise les jours de tempête. |
 |
Autre vue au téléobjectif du pied de la falaise. On devine où les vagues arrivent à marée haute à la couleur de la craie. |
 |
Falaise d'Etretat du côté de la petite porte. On remarque nettement la saignée creusée par les vagues au pied de la falaise (à droite, au premier plan) |
 |
Autre vue montrant le creusement du pied de la falaise par l'action mécanique des vagues. |
 |
Le bas de la falaise pris de très près. Cette saignée est à l'origine d'un porte-à-faux qui fragilise la falaise entière. |
 |
La falaise au delà de la Porte et de l'Aiguille d'Etretat. Le même phénomène est encore visible : falaise fragilisée par le bas par l'action répétitive des vagues à marée haute. |
Surfer c'est donné, copier c'est voler !
